C'est ici que deux elfes de l'ombre se retrouvaient souvent le soir, une fois que la lune projettait sa blanche lumière spectrale sur le royaume tout entier. C'est ici que Yuka et Lilrdam avaient fait naître la rumeur d'un couple mal assorti, et ici que les hommes trop bêtes pour voirle piège de la magicienne mourraient pour avoir eue le loisir d'être "aimer" de Yuka ne serait-ce qu'une nuit.
Une chambre inoccupée dans le domaine des chevalier noirs d'Ulca, cette chambre ou seul Lilrdam avait survecu malgré la tentation. Ici egalement que souvent le rituel se repetait.
Un passe temps et un jeu pour Yuka; une faveur et un immense bonheur pour Lilrdam...l'union de elfe qui à l'extérieur passaient leurs temps à s'envoyer des flêches empoissonnées pour faire tomber l'autre.
Lilrdam l'aimait, Yuka le haissait, elle n'aimait personne à part elle-même, et cet homme le savait lus que quiconque. Il la connaissait bien plus que Silinde, et pourtant il ne l'avait jamais vu flancher.
Yuka était adosser au mur, sa ête reposait sur le torse de Lilrdam, elle avait yeux fermés et ecoutait la nuit. Pourtnt, elle soupira, attirant l'attention de l'elfe.
-Tu t'ennuis déjà Yuka?
-Comme toujours mon pavre ami...
-Je te trouve bien docile ce soir ma belle...
-Je reflechissait à mon depart prochain Lilrdam, voila tout.
-Déjà tu retourne à Horion?
-Exact
-Est-il possible que je t'y accompagne?
-Et pourquoi donc aurais-je esoin de toi? Des beaux mâles il y en a autant ici que là bas tu sais...
Lilrdam se fgea, il savait bien qu'elle ne l'aimait pas, mais la voir si calme avait fait naître de nouveaux espoirs qu'elle venait de briser net. Il soupir, marmonnant qu'elle était bien trop froide pour une femme etque ça lui couterit cher. Yuka ne put s'empecher de rire, et clotura cela par un baiser, qui n'exprimait rien, un baiser sec et inanimé comme donné par une mort.
Yuka ne dit plus rien, et l'elfe fini par s'endormir, serrant la jeune femme contre lui, lui mururant de rester encore...suivit d'un "je t'aime".
Yuka sourt, se disant qu'il étit bien bête de s'endormir ainsi si rofondondement avec elle, mais elle ne le tuerait pas car il était un jouet de première qualité.
Peut-être pouvait-il lui servir à Horion, il fallait qu'elle decide. Elle se laissa erer dans ses pensées, et ne s'assoupit qu'une ou deux heures avant le lever du soleil, et se reveilla avant Lilrdam. Legère comme une plume, elle se leva, s'habilla et quitta la chambrette pour une petite ballade au dehors. Elle devait preparer son depart.